Slava Chevliakov
D’origine russe, Slava Chevliakov est né à Budapest (Hongrie) en 1970.
En 1989, il entre au prestigieux Conservatoire National Supérieur Tchaïkovsky de Moscou. A l’issue de ses études où il se voit décerner au cours de la même année les Premiers Prix (avec Honneurs) d’orgue, de piano et de musicologie, suivis du 1er Prix de Perfectionnement ainsi que du Diplôme d’Etat de Professeur d’orgue des Conservatoires Nationaux de Russie.
Il poursuit sa formation d’organiste en France avec Susan Landale au Conservatoire National de Région de Rueil-Malmaison en cycle de perfectionnement et y obtient le Premier Prix de Virtuosité à l’Unanimité avec Félicitations du Jury.
Désireux de se perfectionner auprès des grands maîtres internationaux de l’orgue et de s’imprégner des meilleures traditions dans le domaine de l’interprétation, Slava Chevliakov a travaillé avec Michel Chapuis au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris, Jean Guillou à Zurich, Gillian Weir à Luxembourg, André Isoir, Luigi-Ferdinando Tagliavini…
L’invité régulier des festivals internationaux en France et à l’étranger, Slava Chevliakov développe une forte activité de concertiste. Il se produit en France, Allemagne, Grande-Bretagne, Espagne, Etats-Unis, Hollande, Italie, Suisse, Luxembourg, Monaco, Norvège, Pologne, Russie…
Depuis 1994, il a donné de nombreux récitals à Paris (Notre Dame, La Madeleine, Saint Sulpice, Saint Etienne-du-Mont, La Trinité, Saint Roch, Conservatoire National Supérieur de Musique…), ainsi que dans une centaine de villes en France dont Angers, Annecy, Auxerre, Belfort, Bordeaux, Bourges, Chartres, Clermont-Ferrand, Grenoble, Le Havre, Lille, Lyon, Montpellier, Nantes, Nice, Rennes, Toulon.
En outre, Slava Chevliakov collabore avec différentes formations instrumentales et vocales dont l’Ensemble Orchestral de Paris, l’Orchestre d’Auvergne, l’Academia Santa-Cecilia de Rome…
Titulaire du Certificat d’Aptitude de professeur d’orgue (le seul organiste d’origine étrangère à avoir obtenu cette récompense au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris), Slava Chevliakov est sollicité pour donner des cours et masterclasses et participer à différents jury de concours en France et à l’étranger. Professeur-assistant de la classe d’orgue du Conservatoire National Supérieur Tchaïkosvky de Moscou, il enseigne actuellement cet instrument dans deux conservatoires de la région parisienne.
Il est par ailleurs organiste titulaire de l’église Saint Léon à Paris.
Née en 1997, Frauke Suys commence ses études de violoncelle à Paris avec Florian Lauridon et Valérie Aimard, avant de poursuivre son cursus avec Raphaël Merlin au CRR de Boulogne-Billancourt. Au cours des dernières années Frauke a suivi des stages avec Catalin Ilea, Sarah Dupriez, Aurélien Sabouret et Xavier Gagnepain.
Elle se produit en musique de chambre à divers occasions en France et en Belgique, et enregistre son premier disque avec le Quatuor Suys. (UT3025)
Samuel Couffignal intègre la classe de piano de Grégory Ballesteros à l’Ecole Nationale de Musique de Villeurbanne (ENMv) à 17ans. Depuis, il mène ses études musicales au sein de différents conservatoire (ENMv, Crr de Lyon, Paris XIII), aussi bien en piano qu’en musique de chambre, analyse, harmonie et contrepoint. Une rencontre déterminante avec Philippe Fournier lui permit de découvrir l’univers passionnant de la direction d’orchestre dès l’âge de 16 ans; depuis, il n’a de cesse de s’intéresser à cette discipline aux champs d’apprentissage toujours plus vastes. C’est en 2011 que Samuel Couffignal crée l’orchestre Meltin’Cordes dont il assure depuis la direction artistique. Actuellement en cycle spécialisé de piano au Crr de Paris dans la classe de Carine Zarifian ; il suit également les cours de direction d’orchestre de Nicolas Brochot et Laurent Goossaert au Conservatoire Iannis Xenakis d’Evry.
Mathilde Pinget, violon
Née en 1997 dans une famille de musiciens, Mathilde Pinget commence dès son plus jeune âge
le violon avec sa maman. Puis elle entre dans la classe de Florin Szigeti au conservatoire
Maurice Ravel ( Paris 13ème arr.). Dans la classe de musique de chambre de Frédéric Lainé , elle
rencontre Frauke Suys et Samuel Couffignal avec qui elle se produit en trio. Depuis 2014, elle
travaille sous la direction d' Amaury Coeytaux, violon solo de l'Orchestre Philharmonique de
Radio France, au conservatoire Paul Dukas (ville de Paris,12ème arrondissement), où elle a
obtenu son D.E.M.(diplôme d'études musicales) en juin dernier. Elle participe régulièrement à
des concerts de musique de chambre, en famille et au sein de l'ensemble Amateo, ainsi que dans
diverses formations de toutes tailles et ensembles orchestraux.Elle a joué cette année « l'histoire
du soldat » de Stravinski, la truite de Schubert ainsi que le quintette à cordes opus 77 de Dvorak,
.et a collaboré au grand événement « la Nuit du Violoncelle », salle Gaveau
A DEUX Violes Esgales....
en quelques mots, en quelques lettres.......
A deux violes esgales est né de la rencontre de deux musiciens, Jonathan Dunford et Sylvia Abramowicz qui vivent une passion commune : la viole de gambe.
Impressionnés par le nombre d'oeuvres qui tombent dans l'oubli depuis le 17ème siècle, Jonathan Dunford s'est donné à coeur de nous les faire entendre grâce aussi à la complicité enthousiaste d'autres musiciens tous spécialistes des luths, théorbes, clavecins et harpes.
En plus d'un contact très particulier avec le public, sa programmation originale et très diversifiée génère des réactions chaleureuses.
A 2 Violes Esgales a séjà répondu à l'invitation de nombreux festivals en France et aux Etats Unis,Festival de Besançon, Printemps des Arts à Sens, Cité de la Musique, Château de Grignan.
Jonathan Dunford est américain d'origine et français d'adoption. Peu à peu, il s’impose comme une des principales personnalités dans la restitution du répertoire pour la basse de viole soliste au XVIIe siècle.
Après des études musicales au Conservatoire de New England, il obtient sa maîtrise puis une bourse afin de se perfectionner auprès de Jordi Savall à la Schola Cantorum de Bâle. C’est toutefois en France qu’il passe son diplôme d’état de musique ancienne.
A Paris, Jonathan Dunford entreprend des recherches à la Bibliothèque Nationale et dans différents centres du monde entier sur les musiques inédites pour viole seule. Les publications issues de ces recherches sont publiées aux Cahiers du Tourdion à Strasbourg, la Société Française de Musicologie et le New Grove's Dictionary. Sa méthode de viole française est publiée dans le Royaume-Uni par Peacock Press.
Il a publié de nombreux articles sur la viole (Goldberg, l’Oeil, livrets de disques), et participe régulièrement à des émissions radiophoniques (France-Musique, France Culture, Radio Bleu, etc.) et à des émissions de télévision (TF1, FR3 Mezzo).
Sa discographie (principalement chez Accord - Universal Music, France) reflète tout l’amour qu’il porte à la viole. On le retrouve dans des formations diverses et dans un répertoire allant du 16ème au 21ème siècle : musique de la Renaissance au cœur d’un consort de violes, répertoire élisabéthain accompagnant des chanteurs, musique baroque en solo ou petite formation, musique traditionnelle chinoise en passant par des improvisations sur une viole électrique avec le guitariste Fred Frith.
Il se produit en soliste avec son ensemble «A Deux Violes Esgales» qu’il a fondé avec la violiste Sylvia Abramowicz. Intéressé par la musique de monde il collabore régulièrement dans des projets tels que «Oiseau de Feu» (musique persane) ou l'ensemble Safar (musique algérienne, chinoise et perse). Il vit à Paris depuis 1987.
Sylvia Abramowicz a été séduite très tôt par l’univers de la musique ancienne. Elle commence très jeune son apprentissage par la flûte à bec puis découvre la viole de gambe à la Schola Cantorum de Paris. Elle approfondit sa formation au Conservatoire Royal de La Haye (Pays-Bas) et étudie ensuite la viole avec Jordi Savall à la Schola Cantorum de Bâle. Après un court séjour aux Etats-Unis (Bloomington, Indiana University), elle obtient en 1988 le Diplôme d’Etat d’Instruments Anciens puis en 1998 le Certificat d’Aptitude de Musique Ancienne. Sylvia Abramowicz est invitée à jouer avec de nombreux ensembles de musique ancienne comme le Centre de Musique Baroque de Versailles, le Poème Harmonique, Akademia, Daedalus, Doulce Mémoire, les Arts Florissants, Les Folies Françoises, Les Paladins, Le Collegium Vocale de Gand…, avec une prédilection pour le consort de violes, pour les assemblages inédits de musiques anciennes mêlés à d'autres formes de créations.
En 1985 elle fonde avec Jonathan Dunford l’ensemble A Deux Violes Esgales, qui se produit dans de nombreux festivals en Europe, Asie et aux U.S.A.
Sylvia Abramowicz reste toujours avide de découvrir et de faire sonner toutes ces musiques qui sommeillent encore.
Sylvia Abramowicz a participé à de nombreux enregistrements pour Accord/Universal, Alpha, Arion, Zig-Zag Territoires, Virgin, Naïve, Saphir, Ameson,…
Quatuor Caliente
En l’an 2000, quatre jeunes musiciens passionnés par le Tango Nuevo d’Astor PIAZZOLLA se rencontrent pour former le Quatuor Caliente. Très vite, le groupe donne ses premiers concerts en France et à l’étranger.
En 2004, il remporte le concours international « Piazzolla Music Award » à Milan, et enregistre son premier album « Libertango » en compagnie du vibraphoniste de Jazz Vincent Maillard, pour le label Aeon/Harmonia Mundi.
Désireux de faire vivre le Tango de notre temps, le Quatuor Caliente élargit progressivement son répertoire qui comprend désormais des pièces d’Horacio Salgan, Juan José Mosalini, Pablo Ziegler, Laurent Colombani, et Gustavo Beytelmann, qui compose à son intention « Otras Voces », une œuvre créée à l’Abbaye de l’Epau avec Vincent Maillard.
En 2007 parait leur deuxième disque, avec la chanteuse argentine Debora Russ.
Si la vie du Quatuor Caliente est déjà riche de multiples rencontres et expériences scéniques – fusion tango/jazz, spectacle théâtral, représentation chorégraphique, etc. – son souffle et sa grande force lui viennent avant tout de l’accueil chaleureux et enthousiaste du public, conquis par l’énergie communicative de ses musiciens.
Issu du Tango traditionnel, le Tango Nuevo se caractérise par une richesse d'écriture héritée de la musique classique, associée à la liberté d'expression inspirée du Jazz.
Cette musique très évocatrice parvient à conjuguer toute la dualité - si représentative du peuple argentin - entre force et fragilité, colère et amour.
Véritable emblème de ce nouveau genre, la musique d'Astor Piazzolla enflamme, réveille les passions, bouleverse avec ses rythmes obsédants et ses thèmes enivrants..
Nicolas Loth
Né en 1981 à Strasbourg, Nicolas Loth commence la musique à l’âge de 7 ans. En 1994, il entre au Conservatoire National de Région de Strasbourg dans les classes d’orgue (Marc Schaefer, Daniel Maurer et Francis Jacob), de clavecin (Christine Heraud), d’écriture (Odile Charvet et Dania Tchalik) et se voit ainsi décerner le Diplôme d’Etudes Musicales en orgue en juin 2004. Parallèlement, il obtient une licence de musicologie à l’université Marc Bloch de Strasbourg
En septembre de la même année, il est admis au Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Lyon dans la classe de François Espinasse et Liesbeth Schlumberger où il bénéficie également des conseils de Louis Robilliard. Il obtient le Diplôme National d’Etudes Supérieures de Musique en juin 2008.
Lors de ses études lyonnaises, Nicolas Loth effectue un séjour à la Musikhochschule de Hambourg dans les classes de Wolfgang Zerer et Peter van Dijk.
Il est lauréat du concours international Xavier Darasse de Toulouse en septembre 2005. Ses concerts l’amènent à jouer des instruments prestigieux tels que les orgues Riepp de la basilique d’Ottobeuren en Allemagne, l’orgue Silbermann de St Thomas à Strasbourg, l’orgue Ahrend de Payerne en Suisse ou encore l’orgue Renaissance Trèves de la cathédrale de Metz.
De septembre 2006 à septembre 2008 Nicolas Loth intègre l’équipe des organistes de la Primatiale Saint Jean de Lyon. Il est actuellement organiste titulaire de l’orgue de Bandol.
De septembre 2008 à septembre 2010 il est professeur d’orgue à l’Association pour la Formation des Eglises Protestantes basée à Strasbourg.
Il enseigne régulièrement à l’Association pour la Session des Organistes Liturgiques d’Annecy.
Titulaire du Diplôme d’Etat de professeur de musique, Nicolas Loth enseigne actuellement au Conservatoire National à Rayonnement Régional de Toulon.
Artiste polyvalente, Elodie Fargeot Mauche poursuit de multiples activités musicales.
Heureuse de pouvoir diversifier son expérience artistique, elle occupe le poste de professeur de violon au CRR de Toulon Provence Méditerranée. Elle joue au sein de formations comme l'Orchestre d'Auvergne et l’Orchestre National de Lorraine. La musique de chambre lui tient particulièrement à cœur : concerts en sonate, trio et quatuor.
Elodie Fargeot Mauche commence le violon au CNR de Besançon et poursuit son apprentissage musical au CNR de Boulogne-Billancourt, dans les classes de Jacques Ghestem et Hortense Cartier Bresson. Ses études musicales la mènent ensuite au Conservatoire Supérieur de Genève (Suisse), où elle étudie le violon avec J.P Wallez et la musique de chambre avec G.Takacs, et reçoit un diplôme de concert mention TB, ainsi qu’un master en pédagogie. Elle se perfectionne ensuite à la Haute École des Arts de Rotterdam, où elle bénéficie des conseils artistiques de G.Nikolic et G. Gribajcevic et y obtient un « Performance Master ». Elle participe parallèlement à des académies de musique réputées (Académies Internationales de Musique Maurice Ravel, Salzburg, Holland Music Sessions, Schola Cantorum…) et rencontre ainsi de grands musiciens et pédagogues:
P.Fontanarosa, H.Krebbers, E.Schmieder, F.Pettrachi, O.Charlier, C.Courtois, Mimi Zweig…
« Elle apportera un grand crédit à la culture en France »
Lord Yehudi MENUHIN
Le talent exceptionnel de Natacha TRIADOU a été reconnu par les plus grands maîtres du violon.
Après sa découverte de l'instrument à l'âge de 4 ans, ses premiers contacts avec le public deux ans plus tard, sa formation se poursuit au Conservatoire de Toulouse où elle obtient, à 12 ans, le 1er Prix de solfège et l'année suivante la Médaille d'Or de violon.
A 14 ans, suite à sa participation au Festival «Pablo Casals » de Prades, elle bénéficie des conseils de Gérard POULET, et donne sa première prestation télévisée à la Halle aux Grains de Toulouse.
Sa rencontre avec Lord Yehudi MENUHIN est déterminante : impressionné par son jeu, il lui demande de venir étudier dans son école en Angleterre. Elle y enrichit son art grâce à ses conseils et à ceux d’autres grands maîtres de la scène musicale internationale, se produit très souvent en concert et jouera sous sa direction au Queen Elisabeth Hall de Londres.
A l’issue de cette formation prestigieuse, elle étudie avec Petru MUNTEANU et Maria EGELHOF à la Musikhochschule de Lübeck en Allemagne. Parallèlement, elle participe aux Master-classes de Zachar BRON dans le cadre du Schleswig-Holstein Musik Festival.
Plus tard, elle rencontre Alberto LYSY qui lui propose d'intégrer l’International Menuhin Music Academy (IMMA) de Gstaad/Blonay en Suisse, où elle reçoit son enseignement ainsi que celui de Jeremy MENUHIN et d'autres grands artistes.
Natacha TRIADOU s'est produite lors de nombreux concerts, en France comme à l'étranger, et a participé à des festivals renommés parmi lesquels le Festival Menuhin (Gstaad Suisse), le Festival «George Enescu » (Roumanie) , ou encore celui d'Estoril au Portugal, le Festival de Goslar-Harz en Allemagne, le Festival « C'est pas Classique » à l'Acropolis de Nice etc.
Elle a joué en soliste avec le Chamber Orchestra of London, la Camerata Lysy, l’Orchestre Philharmonique Européen, l'Ensemble Orchestral de Toulouse, ou la Camerata Menuhin etc. et dans des salles prestigieuses telles que le Victoria Hall de Genève, le Paul Klee Zentrum de Berne, la Tonhalle de Zürich, la Halle aux Grains de Toulouse, la Basilique
Notre Dame des Victoires à Paris etc.
Son sens musical et sa virtuosité lui permettent d'aborder tous les répertoires et c'est ainsi qu' elle a également donné de nombreux concerts en solo, en formation de chambre, avec piano ou orgue.
En janvier 2012, elle a créé le Concerto pour violon « Madness and Salvation » d'Adrien
CASSEL au Théâtre de Fontainebleau.
(plus d'informations sur www.natachatriadou.com)
1er prix de violon et de musique de chambre au CNSM de Paris.
Lauréat au concours international de Munich.
Soliste aux ensembles FF Paillard, B Thomas, Arts nova.
Membre des orchestre de Radio France, et de la Philarmonique de Lyon.
Il joue un violon italien du 18ème siècle.
Concertiste, 1er violoncelle solo de l’Orchestre de Paris, Jean Barthe oriente sa carrière
vers la musique de chambre et participe à de nombreux festivals avec l’élite des musiciens
internationaux. Il signe de nombreux enregistrements et s’aventure dans la musique
contemporaine avec différentes oeuvres qui lui sont dédiées.
Enseignant, on le retrouve à l’Ecole Normale de Musique de Paris Alfred Cortot, au CNR
de Saint Maur ainsi qu’au CNR de Nice, assistant au CNSM de Lyon et de Paris.
Chef d’orchestre (prix de Nice), il crée et conduit pendant de nombreuses années son
orchestre de chambre.
A 13 ans, elle entre à l’unanimité au Conservatoire National Supérieur de Musique et de
danse de Paris, dans la classe de Vlado Perlemuter, puis de Marcel Ciampi, où elle obtient
un Premier Prix de Piano avec félicitations du jury.
Lauréate de Concours Internationaux, elle a obtenu au Concours International Maria
Cañals à Barcelone le Prix de la meilleure interprétation de Musique Espagnole.
Elle joue comme concertiste ou en musique de chambre tant en France qu’à l’étranger et
en particulier à Paris, où elle a joué plusieurs fois Salle Gaveau, salle Pleyel-Chopin,
Palais de l’UNESCO, à l’Opéra, à l’Opéra Comique et au Grand Auditorium de la Radio
en direct.
Elle a enregistré de nombreux disques et a obtenu en 1999 le Grand Prix du Disque.
Sa technique et son tempérament lui permettent d’aborder la Musique Contemporaine. Dès
lors, de nombreux compositeurs font appel à elle pour enregistrer leur oeuvre.
Les Editions Lemoine lui ont confié la direction de la collection 20-21 en quatre volumes
et l’interprétation des oeuvres de 28 compositeurs contemporains pour l’enseignement des
élèves des classes supérieures des Conservatoires.
Après s'être formée auprès de Jacques Di Donato et Michel Arrignon, Véronique Fèvre décide tout naturellement d'aborder le répertoire le plus large possible.
Soliste de l'Ensemble 2e2m, elle participe à la création de nombreuses œuvres et enregistre plusieurs disques en solo, notamment en Involutive pour clarinette en mi bémol de Paul Méfano et Preghiera per un'umbra de Giacinto Scelsi.
Elle est l'invitée régulière des principaux festivals français (Radio France, Montpellier, Aix-en-Provence, Avignon, Strasbourg, Lille).
Elle est professeur au Conservatoire à Rayonnement Régional de Saint-Maur.